X-MAS ART SHOP

7 > 24 décembre 2012


 
 

Xmas art shop est un marché alternatif rassemblant des artistes qui proposent pour les fêtes de fin d'année une sélection de leurs créations à la vente (photographies, dessins, bijoux et objets en carton, livres, carnets de notes, badges, poupées, etc)
Une occasion de les rencontrer autour d'un verre au 10/12, de découvrir leurs oeuvres et de les soutenir.
Une opportunité de se faire plaisir et de trouver le cadeau inédit à offrir.

Avec Luis Alvarez, Pauline Buzaré, Thomas Cartron, Veronica Castiglioni, Fanette Chavent, Anne De Gelas, Anne Deroo, Alix Dussart, Anne Sophie Guillet, Heidi fait du carton, Surya Ibrahim, Antone Israel, Ludovic Jaunatre, Nicolas Leroy, Lu&Ri, Miku, ml Productions, Nos années sauvages, Daniel Piaggio Strandlund, Hélène Petite, Jérôme Poloczek , Virginie Puyraimond...et d'autres.

 
 
 
sérigraphies: Jérôme poloczek,
cartes postales: Anne de Gelas, Anne-Sophie Guillet, Ludovic jaunatre
 
tirages contre-collés: Ludovic Jaunatre, Nicolas Leroy,
 
tirages 15x18cm, Anne-Sophie Guillet
 
tirages 18x18cm: Maëlle Collin
tirage: Virginie Puyraimond
 
tirages: Daniel Piaggio Strandlund
 
"Origamix": Fanette Chavent
 
 
boites en cartons et bagues en papier: Heidi fait du carton
 
carnets: Fanette Chavent
 

poupée christ et sa bible miniature: Miku
 
 
tirages: Nicolas Leroy, Alix Dussart
 
badges et magnets: Lu&Ri
 
t-shirts Lu&Ri
 
"Carnets" de Anne De Gelas
 
"De vagues réminiscences" de Anne Sophie Guillet
 
"Sehnsucht" de Ludovic Jaunatre
 
flipbook de Hélène Petite

TRANSPLANTATION-mutation

MIKU ENOMOTO & SAIKO MAEDA

19.10 > 04.11.2012 


 
 
Pour cette seconde exposition à 10/12, qui est une nouvelle partie de leur projet Transplantation, Miku Enomoto et Saiko Maeda développent la thématique de la métamorphose du corps humain, mettant le focus cette fois sur la question de la mutation.
Miku Enomoto y présente de nouvelles réalisations en tissu qui évoquent des images au microscope.
Utilisant des matières textiles qui évoluent vers une forme sculpturale, les oeuvres de Miku Enomoto s'inspirent des organes du corps humain pour transformer le réel scientifique en imaginaire.
 
Saiko Maeda propose de son côté une « descente » dans les entrailles du corps humain à partir de matières minérales et de sculptures en sucre.
Le travail plastique de Saiko Maeda fait appel  à diverses techniques ( créations textiles, photographies, utilisation de produits alimentaires, etc...) pour révéler de manière ludique des objets ou sujets que nous oublions dans la vie quotidienne

Le dimanche 4 novembre, les deux artistes invitent le public à une Cérémonie du thé.
 
 
 



CARNIVAL

film
Madhuja Mukherjee, 2011
sans paroles, intertitres en anglais, 62 min
no dialogues, english intertitles, 62 min

15.07.2012  20:00


Carnival is my experiment with Love & Death, Fiction & Fact, Story telling & Plot, Actors & On-lookers, Excess & Nothingness, Sound & Silence, Abstraction & Words, Moving Images and Trapped Moments, The Profound & the Profane. In Colour and Black-White. From Here to Nowhere…. Madhuja Mukherjee

FR
Carnival se passe sur quatre jours. Le film commence avec le retour de Babu à sa ville natale après la disparition de sa mère. Les impressions de fête juxtaposées à l'engourdissement de son père déconcertent le héros du film.
Carnival mélange des plans de Calcutta aux couleurs saturées avec des images très composées en noir et blanc des personnages. Certains éléments «documentaire» sont mélangés à la fiction, produisant l'état d'esprit «Carnaval» dans la ville, qui est bizarre, excessif et parfois nauséabond.
Dans Carnival, ce n'est pas plus le sujet qui importe, ni même comment il est abordé, mais la façon dont un état d'être ou un sentiment peut être transmis. Comment le spectateur peut, plus que comprendre une histoire, percevoir l' état de Babu. Jusqu'à se dissoudre avec lui au milieu de la foule dans les rues de Calcutta.
Carnival est un film indépendant expérimental, qui a été présenté en première mondiale lors de la 41° édition du Festival International du Film de Rotterdam, dans la catégorie «Bright Future».

Madhuja Mukherjee a étudié le cinéma, la littérature, la musique et les arts et enseigne aujourd'hui le cinéma à la Jadavpur University de Calcutta en Inde. Elle écrit et réalise des films expérimentaux, crée des histoires graphiques, et a réalisé des installations à partir de dessins, photographies, objets d'archives ou documents historiques glanés dans l'industrie des médias. Madhuja Mukherjee fait également partie du collectif d'artistes Shunyosthan à Calcutta.


EN
Carnival takes place through four days. The film begins with the return of Babu to his hometown after the death of his mother. The compelling festivity juxtaposed with his father’s numbness seems to baffle him.
Carnival uses over saturated colour shots of Kolkata, along with well composed black and white stills of the characters. Certain ‘documentary’ elements are infused into ‘fictitious’ situations to produce the mood of ‘Carnival’ in the city, which is quirky, excessive and sometimes nauseating.
With Carnival, it's not anymore about what one tells, not even how it's being told, but about how a state of being or a feeling can be transmitted. It's about how every sense gets to have its own perception of the story and that the spectator doesn't have to understand the storyteller's story, but to understand Babu's state of being and to dissolve with him with the crowds in the streets of Kolkata.
Carnival is an independent-experimental film, which had its World Premiere at the 41st International Film Festival Rotterdam, under the ‘Bright Future’ category.

Madhuja Mukherjee studied film, literature, music and the arts. She teaches Film Studies at Jadavpur University in Calcutta, India. She wrote and directed experimental films, creates graphic stories, and has created installations from drawings, photographs, objects or archive historical documents gleaned from the media industry. Madhuja Mukherjee is also part of the artist collective Shunyosthan and Performers Independent in Calcutta.

Trailer/Bande annonce
Press review 1
Press review 2

EGO SVM

PHILIPPE CLARA
peintures

du 14 juin au 1er juillet 2012




FR
EGO SVM 
"Etats du corps

Une série de grandes peintures en noir et blanc représentent un homme et son corps, en parties, dont le visage, lieu particulier du corps. Chacun de ces fragments de corps est analysé froidement par une peinture factuelle qu’on dirait photographique. Elle est abstraite pourtant, dans le souci de trouver l’équivalence du gris, du blanc, de l’ombre.

Cet homme, on devine qu’il s’agit du peintre. Son corps, son visage, s'adressent à nous. Des images du passé et du présent coexistent, se télescopent. Il pose. Il nous regarde. Il se donne à voir, mis en scène. Le passage du temps se lit sur sa peau.

De tableau en tableau, agencés tous ensemble, le peintre semble nous proposer une collection d'états du moi, choisis, incarnés, au fur et à mesure de ses questions. Il se peint comme une matière, vivante, mortelle, détachée de lui. Mais le regard intense, la mise en scène du corps, dément d'autant plus cet état de "chose", affirme l'être, son désir, son adresse. Il vient nous chercher.

Loin de l’illusion d’un soi unifié, les peintures de Philippe Clara sont autant de pièces du jeu identitaire qui traverse une vie. Elles parlent de lui comme elles parleraient d’un autre, avec distance, construction. La mortalité est évoquée par cet état d'objet périssable qu'il se donne. L’inquiétude est perceptible. Elle se mêle d’une affirmation de soi paradoxale : innocence enfantine, défi ou ironie.

Une seule image le montre entier, corps reposé, yeux clos, parmi les objets de sa vie, disproportionnés. Ce corps nu, lisse, hors temps, flotte doucement au-dessus des choses."

Anne Deroo


NL
staten van het lichaam

"Een reeks grote schilderijen in zwart wit. Onderwerp: een man, zijn lichaam of delen daaruit. Een deel in het bijzonder: zijn gezicht, als welbepaald onderdeel van het lichaam. Elk fragment van dat lichaam wordt onderworpen aan een koele analyse, die van een zakelijke, schijnbaar fotografische beeldvorming. Het gaat hier nochtans om abstracte schilderijen, die zoeken naar de equivalentie tussen grijs, wit, schaduw.

De man die afgebeeld staat is de schilder, dat vermoeden we althans. Zijn lichaam en zijn gelaat zijn naar ons gericht. Beelden uit heden en verleden bestaan naast elkaar maar komen net zogoed met elkaar in aanvaring. Hij poseert. Hij kijkt ons aan. Hij geeft zichzelf over aan onze blik, hij ensceneert zichzelf. De tijd die voortschrijdt is op zijn huid te lezen.

Het is alsof de schilder ons, van doek tot doek, een verzameling 'staten van het ik' wil voorstellen, vleesgeworden vragen over zichzelf. Hij schildert zichzelf als was hij enkel een levende en vergankelijke materie, los van een eigen zijn. De intensiteit van de blik en de enscenering van het lichaam weerleggen echter deze zakelijkheid. In tegendeel: er is hier sprake van zichtbaar en uitgesproken verlangen en bestaanswil.

Philippe Clara's schilderijen tonen de ontelbare delen van een identiteit door het leven geboetseerd, ver van de illusie van een ééngemaakte ik. Ze hebben het over hem als hadden ze het over een andere, met afstand en constructie. De sterfelijkheid wordt gesuggereerd doordat de schilder zichzelf als een vergankelijk object voorstelt. De bezorgdheid is tastbaar, maar evengoed een tegenstrijdige zelfaffirmatie: kinderlijke onschuld, uitdaging en ironie.

In één enkel beeld staat hij er volledig op: uitgerust lichaam, gesloten ogen, omringd door de voorwerpen die hem na aan het hart liggen, uit proportie. Dat naakte, effen, tijdloze lichaam zweeft zachtjes boven de dingen."

Anne Deroo

 


VISIT 2012

Focus sur 10/12 dans le cadre du parcours d'artistes
VISIT 2012

A l’espace 10/12 et à la Bellone

samedi 2 juin et dimanche 3 juin de 11 à 19h00

LUIS ALVAREZ, ERIC EGGERICKX, LUDOVIC JAUNATRE, NICOLAS LEROY, DANIEL PIAGGIO STRANDLUND
dimanche 3 juin de 18 à 20h00 à 10/12:
performance de BEATRICE DIDIER




Eaux-de-mer, Suede 2010 - (c) Nicolas Leroy


http://www.parcoursvisit.be/


La Bellone
rue de Flandre 46, 1000 Bruxelles
0472 73 73 88




Béatrice Didier, performance - (c) Luis Alvarez





ALICE DE VISSCHER & EVAMARIA SCHALLER

Performances

Lundi 28 mai, 20h00



Alice De Visscher (BE)

"Je travaille sur mon corps et son aspect, sur l'espace et sa structure, sur les matières et leurs propriétés. Tendre, lâcher, construire et détruire sont les principales actions que j'explore, qui modifient mon corps et l'espace ou la perception de ceux-ci."


Alice De Visscher vit et travaille à Bruxelles. Issue du théâtre (De Kleine Academie, 2004), elle a quitté la narration pour explorer les relations physiques et visuelles entre son corps, des objets et/ou l'espace d'abord en vidéo puis en performance. Elle a présenté son travail en Belgique ainsi qu'à l'étranger (Allemagne, Autriche, Singapour, Thaïlande, Canada,..)

http://alicedevisscher.mosaicglobe.com/

Evamaria Schaller (D)

"L'espace où je performe peut être une galerie ou un espace public. Le focus est sur mon interaction avec le lieu. Dans toutes mes performances, je mets en jeu mon corps et la relation avec l'espace et le public. Les matériaux qui m'intéressent aujourd'hui sont des matériaux extensibles et compressibles comme par exemple les élastiques ou les sacs à ordures ( qui m'intéressent aussi pour leur origine sociale)."

Néé en Autriche où elle a étudié la photographie et l'art multi-média, Evamaria Schaller vit et travaille aujourd'hui à Cologne où elle a étudié le cinéma et l' art performance. Membre de PAErsche, elle a présenté son travail aussi bien en Allemagne qu'en Autriche, France, Pologne, Turquie, Danemark...

http://www.efeumaria.com/

Après la présentation des solos, Alice De Visscher et Evamaria Schaller performeront ensemble pour créer "une sorte de cabinet de curiosités de mouvements et d'images."








(c) Bruno Alvarez