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CE QUI SEPARE LA NUIT DU JOUR
THOMAS CARTRON
photographies
21.03 > 07.04.2013
jeudi > dimanche 14:00 > 19:00
vernissage 20.03 18:30
photographies
21.03 > 07.04.2013
jeudi > dimanche 14:00 > 19:00
vernissage 20.03 18:30
L'exposition Ce qui sépare la nuit du jour est composée de photographies réalisées dans des espaces et des temps différents, à la recherche de ces moments de contemplation qui nous renvoient à nos souvenirs les plus profonds.
Des images entre fragilité et tension. Des images en rupture. Rupture avec le temps, entre passé et présent, réalité et fiction. Rupture de l’espace, du corps. Rupture avec soi-même et avec l’autre.
Raconter des histoires qui nous rendent mieux capables de saisir le monde qui nous entoure. Un projet inscrit dans une recherche en cours, motivée par une peur de la disparition, de la perte, de l’oubli.
www.crtrn.com
L'exposition Ce qui sépare la nuit du jour est composée de photographies réalisées dans des espaces et des temps différents, à la recherche de ces moments de contemplation qui nous renvoient à nos souvenirs les plus profonds.
Des images entre fragilité et tension. Des images en rupture. Rupture avec le temps, entre passé et présent, réalité et fiction. Rupture de l’espace, du corps. Rupture avec soi-même et avec l’autre.
Raconter des histoires qui nous rendent mieux capables de saisir le monde qui nous entoure. Un projet inscrit dans une recherche en cours, motivée par une peur de la disparition, de la perte, de l’oubli.
www.crtrn.com
NOUS SOMMES SEALAND
RE:c
21.02.2013 - 19:00
La Principauté de Sealand est une micro-nation qui a pour seul territoire une ancienne plateforme militaire perdue au milieu de la Mer du Nord.
Population : 6 habitants. Superficie : 550 m2. Ressources : inconnues
C’est à la fois le pays le plus petit et le plus pourri du monde.
Les membres de RE:c ont pourtant fait de Sealand leur terre promise. Ils ambitionnent de la rallier sous peu, au moyen d’un radeau qu’ils ont construit de leurs mains. Son équipage est constitué de Boris Dambly, Arthur Egloff, Roberta Gigante et Madely Schott.
Avant d’embarquer pour ce voyage de plusieurs mois, le collectif RE:c est accueilli au 10/12 afin de dévoiler les enjeux majeurs qui nourriront sa quête.
Cette exposition est le prologue d’un mythe qui se déclinera, dans un temps futur, sous différentes actions et différentes formes.
RE:c est une plateforme de performance fondée en 2010 à L’Ecole Nationale des Arts Visuels de la Cambre. Il réunit des artistes issus d’horizons et de disciplines plastiques divers: Boris Dambly (bel), Julie Gilbert (fra) et Valentin Périlleux (bel) sont scénographes, Elisa Epsen (fra) dessinatrice, Madely Schott (fra) est plasticiennes et Britta Vossmerbäumer (deu) peintre. En marge de leurs pratiques respectives, ils se rencontrent régulièrement dans le cadre d’intrépides expérimentations, d’empiriques recherches et de fumantes réflexions donnant régulièrement lieu à de chaotiques performances. A ce titre, ils ont notamment inondé un théâtre, envahit de mouches une galerie d’Art, creusé des trous en Europe de l’Est et projettent actuellement de traverser le Mer du Nord en radeau.
RE:c a participé à plusieurs festivals dédiés à la performance, tels que Trouble en Belgique, Interakcje en Pologne et Asiatopia en Thaïlande. Il a également collaboré avec l’actrice Berdine Nusselder (ned), la plasticienne Roberta Gigante (ita), le metteur en scène Arthur Egloff (fra) et l’architecte d’intérieur et performer Clément Losson (fra).
http://cargocollective.com/httprecollectifcom
21.02.2013 - 19:00
La Principauté de Sealand est une micro-nation qui a pour seul territoire une ancienne plateforme militaire perdue au milieu de la Mer du Nord.
Population : 6 habitants. Superficie : 550 m2. Ressources : inconnues
C’est à la fois le pays le plus petit et le plus pourri du monde.
Les membres de RE:c ont pourtant fait de Sealand leur terre promise. Ils ambitionnent de la rallier sous peu, au moyen d’un radeau qu’ils ont construit de leurs mains. Son équipage est constitué de Boris Dambly, Arthur Egloff, Roberta Gigante et Madely Schott.
Avant d’embarquer pour ce voyage de plusieurs mois, le collectif RE:c est accueilli au 10/12 afin de dévoiler les enjeux majeurs qui nourriront sa quête.
Cette exposition est le prologue d’un mythe qui se déclinera, dans un temps futur, sous différentes actions et différentes formes.
RE:c est une plateforme de performance fondée en 2010 à L’Ecole Nationale des Arts Visuels de la Cambre. Il réunit des artistes issus d’horizons et de disciplines plastiques divers: Boris Dambly (bel), Julie Gilbert (fra) et Valentin Périlleux (bel) sont scénographes, Elisa Epsen (fra) dessinatrice, Madely Schott (fra) est plasticiennes et Britta Vossmerbäumer (deu) peintre. En marge de leurs pratiques respectives, ils se rencontrent régulièrement dans le cadre d’intrépides expérimentations, d’empiriques recherches et de fumantes réflexions donnant régulièrement lieu à de chaotiques performances. A ce titre, ils ont notamment inondé un théâtre, envahit de mouches une galerie d’Art, creusé des trous en Europe de l’Est et projettent actuellement de traverser le Mer du Nord en radeau.
RE:c a participé à plusieurs festivals dédiés à la performance, tels que Trouble en Belgique, Interakcje en Pologne et Asiatopia en Thaïlande. Il a également collaboré avec l’actrice Berdine Nusselder (ned), la plasticienne Roberta Gigante (ita), le metteur en scène Arthur Egloff (fra) et l’architecte d’intérieur et performer Clément Losson (fra).
http://cargocollective.com/httprecollectifcom
AB URBE CONDITA
THOMAS BENARD
26.01 > 9.02.2013
L'architecture est ici interrogée sur une notion d'histoire.
Une exposition où le public est aussi bien invité à déambuler dans la ville qu'à découvrir des reproductions de bas relief.
Dans l'ensemble, on découvre un univers où tout se contredit.
Ici sont révélés les contresens dans l'architecture moderne sur fond d'une ville en mutation.
« Initialement, on construisait pour se protéger, puis a émergé l'idée de construire pour laisser une trace, une mémoire. L'architecture représentant une civilisation pouvait vivre plus longtemps que les hommes de cette civilisation. Aujourd'hui on ne bâtit plus avec des pierres mais avec des matériaux vulnérables. Les mutations sont constantes. L'idée de mémoire semble avoir disparu. Depuis moins d'un siècle, l'architecture prend en considération sa propre destruction. Je m'intéresse aux ruines contemporaines et à ce qu'elles peuvent susciter en nous.
Je m'intéresse au contresens que peut engendrer l'architecture aujourd'hui vis à vis de son histoire et de ses premières vocations. »
-Thomas Bénard-
26.01 > 9.02.2013
Ab urbe condita est une exposition qui parle de destructions, de constructions, de déplacements et d'abandons de bâtiments. L'architecture est ici interrogée sur une notion d'histoire.
Une exposition où le public est aussi bien invité à déambuler dans la ville qu'à découvrir des reproductions de bas relief.
Dans l'ensemble, on découvre un univers où tout se contredit.
Ici sont révélés les contresens dans l'architecture moderne sur fond d'une ville en mutation.
« Initialement, on construisait pour se protéger, puis a émergé l'idée de construire pour laisser une trace, une mémoire. L'architecture représentant une civilisation pouvait vivre plus longtemps que les hommes de cette civilisation. Aujourd'hui on ne bâtit plus avec des pierres mais avec des matériaux vulnérables. Les mutations sont constantes. L'idée de mémoire semble avoir disparu. Depuis moins d'un siècle, l'architecture prend en considération sa propre destruction. Je m'intéresse aux ruines contemporaines et à ce qu'elles peuvent susciter en nous.
Je m'intéresse au contresens que peut engendrer l'architecture aujourd'hui vis à vis de son histoire et de ses premières vocations. »
-Thomas Bénard-
X-MAS ART SHOP
7 > 24 décembre 2012
Xmas art shop est un marché alternatif rassemblant des artistes qui proposent pour les fêtes de fin d'année une sélection de leurs créations à la vente (photographies, dessins, bijoux et objets en carton, livres, carnets de notes, badges, poupées, etc)
Une occasion de les rencontrer autour d'un verre au 10/12, de découvrir leurs oeuvres et de les soutenir.
Une opportunité de se faire plaisir et de trouver le cadeau inédit à offrir.
Avec Luis Alvarez, Pauline Buzaré, Thomas Cartron, Veronica Castiglioni, Fanette Chavent, Anne De Gelas, Anne Deroo, Alix Dussart, Anne Sophie Guillet, Heidi fait du carton, Surya Ibrahim, Antone Israel, Ludovic Jaunatre, Nicolas Leroy, Lu&Ri, Miku, ml Productions, Nos années sauvages, Daniel Piaggio Strandlund, Hélène Petite, Jérôme Poloczek , Virginie Puyraimond...et d'autres.
Xmas art shop est un marché alternatif rassemblant des artistes qui proposent pour les fêtes de fin d'année une sélection de leurs créations à la vente (photographies, dessins, bijoux et objets en carton, livres, carnets de notes, badges, poupées, etc)
Une occasion de les rencontrer autour d'un verre au 10/12, de découvrir leurs oeuvres et de les soutenir.
Une opportunité de se faire plaisir et de trouver le cadeau inédit à offrir.
Avec Luis Alvarez, Pauline Buzaré, Thomas Cartron, Veronica Castiglioni, Fanette Chavent, Anne De Gelas, Anne Deroo, Alix Dussart, Anne Sophie Guillet, Heidi fait du carton, Surya Ibrahim, Antone Israel, Ludovic Jaunatre, Nicolas Leroy, Lu&Ri, Miku, ml Productions, Nos années sauvages, Daniel Piaggio Strandlund, Hélène Petite, Jérôme Poloczek , Virginie Puyraimond...et d'autres.
sérigraphies: Jérôme poloczek,
cartes postales: Anne de Gelas, Anne-Sophie Guillet, Ludovic jaunatre
tirages contre-collés: Ludovic Jaunatre, Nicolas Leroy,
tirages 15x18cm, Anne-Sophie Guillet
tirages 18x18cm: Maëlle Collin
tirage: Virginie Puyraimond
tirages: Daniel Piaggio Strandlund
"Origamix": Fanette Chavent
boites en cartons et bagues en papier: Heidi fait du carton
carnets: Fanette Chavent
poupée christ et sa bible miniature: Miku
tirages: Nicolas Leroy, Alix Dussart
badges et magnets: Lu&Ri
t-shirts Lu&Ri
"Carnets" de Anne De Gelas
"De vagues réminiscences" de Anne Sophie Guillet
"Sehnsucht" de Ludovic Jaunatre
flipbook de Hélène Petite
TRANSPLANTATION-mutation
MIKU ENOMOTO & SAIKO MAEDA
19.10 > 04.11.2012
19.10 > 04.11.2012
Pour cette seconde exposition
à 10/12, qui est une nouvelle partie de leur projet Transplantation, Miku
Enomoto et Saiko Maeda développent la thématique de la métamorphose du corps
humain, mettant le focus cette fois sur la question de la mutation.
Miku
Enomoto y présente de nouvelles réalisations en tissu qui
évoquent des images au microscope.
Utilisant des matières textiles qui évoluent vers
une forme sculpturale, les oeuvres de Miku Enomoto s'inspirent des organes du
corps humain pour transformer le réel scientifique en imaginaire.
Saiko
Maeda propose de son côté une
« descente » dans les entrailles du corps humain à partir de matières
minérales et de sculptures en sucre.
Le travail plastique de Saiko Maeda fait appel à diverses
techniques ( créations textiles, photographies, utilisation de produits
alimentaires, etc...) pour révéler de manière ludique des objets ou sujets que
nous oublions dans la vie quotidienne
Le dimanche 4 novembre, les deux artistes invitent le public à une Cérémonie du thé.
Le dimanche 4 novembre, les deux artistes invitent le public à une Cérémonie du thé.
CARNIVAL
film
Madhuja Mukherjee, 2011
sans paroles, intertitres en anglais, 62 min
no dialogues, english intertitles, 62 min
15.07.2012 20:00
Carnival is my experiment with Love & Death, Fiction & Fact, Story telling & Plot,
Actors & On-lookers, Excess & Nothingness, Sound & Silence, Abstraction & Words, Moving Images and Trapped Moments, The Profound & the Profane. In Colour and Black-White. From Here to Nowhere…. Madhuja Mukherjee
FR
Carnival se passe sur quatre jours. Le film commence avec le retour de Babu à sa ville natale après la disparition de sa mère. Les impressions de fête juxtaposées à l'engourdissement de son père déconcertent le héros du film.
Carnival mélange des plans de Calcutta aux couleurs saturées avec des images très composées en noir et blanc des personnages. Certains éléments «documentaire» sont mélangés à la fiction, produisant l'état d'esprit «Carnaval» dans la ville, qui est bizarre, excessif et parfois nauséabond.
Dans Carnival, ce n'est pas plus le sujet qui importe, ni même comment il est abordé, mais la façon dont un état d'être ou un sentiment peut être transmis. Comment le spectateur peut, plus que comprendre une histoire, percevoir l' état de Babu. Jusqu'à se dissoudre avec lui au milieu de la foule dans les rues de Calcutta.
Carnival est un film indépendant expérimental, qui a été présenté en première mondiale lors de la 41° édition du Festival International du Film de Rotterdam, dans la catégorie «Bright Future».
Madhuja Mukherjee a étudié le cinéma, la littérature, la musique et les arts et enseigne aujourd'hui le cinéma à la Jadavpur University de Calcutta en Inde. Elle écrit et réalise des films expérimentaux, crée des histoires graphiques, et a réalisé des installations à partir de dessins, photographies, objets d'archives ou documents historiques glanés dans l'industrie des médias. Madhuja Mukherjee fait également partie du collectif d'artistes Shunyosthan à Calcutta.
EN
Carnival takes place through four days. The film begins with the return of Babu to his hometown after the death of his mother. The compelling festivity juxtaposed with his father’s numbness seems to baffle him.
Carnival uses over saturated colour shots of Kolkata, along with well composed black and white stills of the characters. Certain ‘documentary’ elements are infused into ‘fictitious’ situations to produce the mood of ‘Carnival’ in the city, which is quirky, excessive and sometimes nauseating.
With Carnival, it's not anymore about what one tells, not even how it's being told, but about how a state of being or a feeling can be transmitted. It's about how every sense gets to have its own perception of the story and that the spectator doesn't have to understand the storyteller's story, but to understand Babu's state of being and to dissolve with him with the crowds in the streets of Kolkata.
Carnival is an independent-experimental film, which had its World Premiere at the 41st International Film Festival Rotterdam, under the ‘Bright Future’ category.
Madhuja Mukherjee studied film, literature, music and the arts. She teaches Film Studies at Jadavpur University in Calcutta, India. She wrote and directed experimental films, creates graphic stories, and has created installations from drawings, photographs, objects or archive historical documents gleaned from the media industry. Madhuja Mukherjee is also part of the artist collective Shunyosthan and Performers Independent in Calcutta.
Trailer/Bande annonce
Press review 1
Press review 2
Madhuja Mukherjee, 2011
sans paroles, intertitres en anglais, 62 min
no dialogues, english intertitles, 62 min
15.07.2012 20:00
FR
Carnival se passe sur quatre jours. Le film commence avec le retour de Babu à sa ville natale après la disparition de sa mère. Les impressions de fête juxtaposées à l'engourdissement de son père déconcertent le héros du film.
Carnival mélange des plans de Calcutta aux couleurs saturées avec des images très composées en noir et blanc des personnages. Certains éléments «documentaire» sont mélangés à la fiction, produisant l'état d'esprit «Carnaval» dans la ville, qui est bizarre, excessif et parfois nauséabond.
Dans Carnival, ce n'est pas plus le sujet qui importe, ni même comment il est abordé, mais la façon dont un état d'être ou un sentiment peut être transmis. Comment le spectateur peut, plus que comprendre une histoire, percevoir l' état de Babu. Jusqu'à se dissoudre avec lui au milieu de la foule dans les rues de Calcutta.
Carnival est un film indépendant expérimental, qui a été présenté en première mondiale lors de la 41° édition du Festival International du Film de Rotterdam, dans la catégorie «Bright Future».
Madhuja Mukherjee a étudié le cinéma, la littérature, la musique et les arts et enseigne aujourd'hui le cinéma à la Jadavpur University de Calcutta en Inde. Elle écrit et réalise des films expérimentaux, crée des histoires graphiques, et a réalisé des installations à partir de dessins, photographies, objets d'archives ou documents historiques glanés dans l'industrie des médias. Madhuja Mukherjee fait également partie du collectif d'artistes Shunyosthan à Calcutta.
EN
Carnival takes place through four days. The film begins with the return of Babu to his hometown after the death of his mother. The compelling festivity juxtaposed with his father’s numbness seems to baffle him.
Carnival uses over saturated colour shots of Kolkata, along with well composed black and white stills of the characters. Certain ‘documentary’ elements are infused into ‘fictitious’ situations to produce the mood of ‘Carnival’ in the city, which is quirky, excessive and sometimes nauseating.
With Carnival, it's not anymore about what one tells, not even how it's being told, but about how a state of being or a feeling can be transmitted. It's about how every sense gets to have its own perception of the story and that the spectator doesn't have to understand the storyteller's story, but to understand Babu's state of being and to dissolve with him with the crowds in the streets of Kolkata.
Carnival is an independent-experimental film, which had its World Premiere at the 41st International Film Festival Rotterdam, under the ‘Bright Future’ category.
Madhuja Mukherjee studied film, literature, music and the arts. She teaches Film Studies at Jadavpur University in Calcutta, India. She wrote and directed experimental films, creates graphic stories, and has created installations from drawings, photographs, objects or archive historical documents gleaned from the media industry. Madhuja Mukherjee is also part of the artist collective Shunyosthan and Performers Independent in Calcutta.
Trailer/Bande annonce
Press review 1
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